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Réflexion collective sondage alimentation

 

Sondage sur l’Alimentation à La Réunion réalisé du 24 juin au 30 juillet


Consulter les résultats du sondage



Merci à tous pour votre participation au Sondage et d’avoir pris le temps de publier vos suggestions.

La réflexion collective a fait ressortir de très belles propositions sur vos attentes en matière d’alimentation, votre envie de manger mieux, manger sainement et de privilégier les productions locales et les produits Péi.

Les Résultats chiffrés du Sondage montrent clairement une prise de conscience écologique et cette réflexion met en avant les solutions alternatives attendues par les Réunionnais.

 

Ariane : Dans l’idéal pour mon alimentation je voudrais :

  • que du local en fruits et légumes sauf exceptions nécessaires (et pas des fraises d’Espagne…)
  • du coup enlever de la canne pour ajouter des cultures vivrières
  • développer la permaculture
  • encourager les élevages de viande a petite échelle en plein air respectueux de la vie animale (quitte à payer beaucoup plus cher la viande au kg) – développer davantage le vrac qui est trop a petite échelle actuellement

Sinon bravo pour votre page je trouve l’idée géniale 🙂

 

Audrey Retrouvons du bon sens dans notre mode de consommation.
Respectons notre mère la Terre et comme à son habitude elle nous le rendra au centuple!

 

Caroline : C’est juste une urgence de se rendre compte du mal que l’on se fait et que l’on fait a la planète et à nos enfants en restant dans ces modes de consommation.
Ne lâchons rien !

 

Charlotte : Créer de l’emploi et des avantages fiscaux pour le maraîchage et l’élevage Locaux pour remplacer progressivement puis définitivement la canne à sucre.

 

Coralie : Que toutes les exploitations cessent la monoculture quelle qu’elle soit pour installer une biodiversité arborée qui ramène la vie dans le sol, la biodiversité en général et permette de lutter contre l’érosion du sol par ruissellement et alimente, par infiltration, grâce aux racines des arbres, les nappes phréatiques.

 

Denise : Se grouper se fédérer, SCOP, SCIC, AMAP ….

 

Eliane : Faire plus de prévention sur la nourriture dans les écoles et auprès des familles. Repas végétarien dans les cantines.

 

Élise : Favoriser la vente 0 déchet, en agriculture raisonnable et locale Les ventes sans déchet et les locales coûtent encore extrêmement chères !

 

Elodie : Les produits locaux doivent être beaucoup moins chers que les produits importés.

 

Amandine : Il y a vraiment du boulot, comme partout, je crois que la politique doit impulser le reste. Politique pourrie = consommation doit impulser le reste. Politique pourrie = consommation pourrie. Ici comme en métropole

 

Evelyne : Plus de proximité avec les agriculteurs : pouvoir acheter à la Plantation. Avoir accès aux produits transformés localement ‘ne pas devoir aller aux stand touristes pour retrouver nos produits). Nous lé réunionnais nous lé informé des actions à l’actualité quand l’événement la fini !!!!!

 

Flavia : “Développement du maraîchage bio à la Réunion avec cultures Péi. Installation de Terre de Liens pour faciliter l’accès à la Terre aux paysans et permettre la culture de petites parcelles.”

 

Flore:

  • Développer la production (sur modèle bio/agroforesterie) de produits à gros volume de consommation afin de ne plus devoir les importer.
  • Revoir le principe de subventions de la canne, c’est une aberration !!
  • Encourager les nouveaux agriculteurs à s’installer en bio, avec volonté de vendre en circuits courts.
  • Freiner les nouvelles installations en canne, surtout si en conventionnel.
  • Communiquer de manière très clair sur ce qui est Péi ou non. Un label “importé” aurait du sens, pour mettre en évidence la foule de produits pour lesquels nous dépendons de l’importation (et donc des transports, aléas du marchés, etc.) à côté d’un label Péi. Etc.

Merci et bon travail :)”

 

Glad : J’aimerais Beaucoup qu’on puisse identifier les producteurs qui vendent des Produits agriculture raisonnée et bio plus clairement sur Les marchés forains, car c est très difficile rien n’est affiché La plupart du temps.
Merci

 

Jean-Michel : Le mieux vivre ne doit pas être un choix mais une obligation, nous sommes la 2ème région consommatrice de glyphosate de France, nous avons des records d’allergies.
Nous pouvons, à la Réunion passer à un mode Bio assez facilement, car la génération des 60, 70 a connu cette époque et sait en vanter les avantages. Avantages qui sont, en premier lieu : la santé, mais aussi la création d’emplois. Nous aurions tout intérêt à changer.
Mais, ce ne sont pas nos politiques qui vont nous emmener sur cette voie, c’est aux citoyens de les y contraindre et pour se faire nous devrons être majoritaire. Voilà le problème comment faire cela nécessiterait une vaste campagne, coûteuse.
Alors nous allons continuer avec de petites actions comme ce sondage qui n’est qu’une goutte qui n’apportera que trop peu de chose pour prétendre a un changement.

 

Jenn : Très difficile de s’approvisionner encore en Bio et local sur l’île… C’est la course. Certains sont inaccessibles financièrement. Il faut que ça bouge! Du local et bio, l’île a toutes les richesses…

 

Jennifer : Favoriser aussi la vente en vrac

 

Krn : Nou large pa !

 

La créole : Un marché forain bio

 

La Kaz’RSE : il faut démocratiser le bio et faire plus de marché bio dans toute l’île

 

Lala Herisoa : Le 100% BIO me semble difficile à atteindre à court terme à La Réunion. Et il en est de même en ce qui concerne le changement du comportement alimentaire des réunionnais, ce qui est normal compte tenu du caractère culturel de ce dernier.
Développer la permaculture et habituer les réunionnais, petit à petit, à consommer moins de viande, pourquoi pas par une éducation qui pourrait très bien se faire dans les cantines scolaires, ce sont les petites idées qui me traversent l’esprit au moment où j’écris.

 

Laura : Le collectif Oasis Réunion a pour objectif de faire tous ensemble de La Réunion la 1ère oasis agro-bio-socio-écologique de l’Océan Indien et le premier département “Objectif zéro phyto – 100 % bio

 

Lauriane : Je souhaiterais plus de bio et de repas sans viande ni poisson dans les cantines, pour éduquer la future génération

 

Laurie : Merci pour ce sondage

 

Liliz : il faudrait plus de bio dans les marchés forains

 

Marco :

  • Monter beaucoup plus d’associations type le comptoir du vrac. Mais un peu partout sur l’île pour éviter de faire trop de kilomètre. Et essayer que ces Assos se sourcent un maximum sur l’île.
  • Faire des partenariats avec des producteurs locaux si certains produits n’existent pas pour essayer de les faire localement si c’est possible techniquement.

 

Marie : Plus de bio facile à trouver pour fruits et légumes

 

Martine : Cartographie des circuits courts.

 

Mary : Aller vers le bio, développer le vrac.

 

Mimi : Sensibiliser les jeunes dans les établissements scolaires

 

Nath : Plus de permaculture

 

Ophélie : Un marché forain bio

 

Solrog : Je trouve incongru l’idée d’un label Permaculture. A mon sens la perma part de soi…

 

Sylvain : En finir avec la monoculture et à fond vers la permaculture et le maraîchage raisonné

 

Thom : Un accompagnement nécessaire de la population et des agriculteurs afin de passer à une agriculture réunionnaise durable.

 

Tiphaine : Question 3, il manque un critère “écologie” : j’essaie de limiter au maximum les déchets donc parfois, je choisis un produit parce qu’il est moins emballé plutôt que parce qu’il est bio (cf. suremballage du bio importé …) + question 5 : une réduction des emballages (via alimentation locale)

 

Valentin : Arret la canne !

 

Vincent : Bravo pour ce que vous faites, continuez !

 

Virginie : merci

 

Nico : Subventionner la conversion au bio, encourager la création de potagers communs et de rudiments de l’agriculture à l’école primaire.

 

YoAg : Planter des carottes à la place de la canne et verser les mêmes indemnités (canne à l’hectare) aux agriculteurs maraîchers.

 

Lucile : Il n’y a selon moi rien à interdire mais beaucoup à expliquer :

  • d’où vient le poulet grillé acheté dans le chemin et pourquoi il se découpe sans couteau
  • qui a créé Agriculture Raisonnée et dans quel but marketing
  • comment poussent les tomates à 80 centimes
  • qui produit du lait à La Réunion, dans quelles conditions et avec quel revenu
  • quelle surface agricole serait nécessaire pour l’autonomie alimentaire (riz pluvial, grains, huile, fruits et légumes au moins).

Merci d’envoyer les résultats de ce sondage qui est certainement très biaisé (Facebook sélectionne déjà des mangeurs responsables parmi vos abonnés)”

 

Titi : racheter les terres aux planteurs de cannes pour diversifier les cultures et reboiser des espaces naturels

 

Lilia : Arrêter d importer les produits de mauvaise qualité, meilleur tarifs sur les produits locaux et sans pesticide et une viande de meilleur qualité … préserver la Réunion des pesticide et engrais nocifs…. l éco système de la Réunion pourrais être autonome…

 

Luca : Certains choix de réponse ne sont pas clairs: par exemple AMAP et coopérative ce n’est pas du tout le même fonctionnement/démarche, dans les critères d’achat le choix est très réduit (quid de l’environnement?), encore sur la question “où achetez-vous vos produits alimentaires” elle est trop vaste et il aurait fallu cibler par catégorie de produits, par exemple moi j’achète dans tous les points de vente indiqués, mais j’ai mis juste les 4 où j’achète le plus. Bon courage !

 

Marie : Faire des tables rondes pour se rencontrer et partager nos idées’

 

Christel : Plus de PDV en bio, perma

 

Kat : Ne pas oublier les personnes en situation de précarité et favoriser des actions en ce sens comme des jardins partagés, allier bon prix et produits de qualité et locaux. Des actions tels dans le sens de l’ESS serait idéal dans l’île, il faut soutenir l’initiative de l’association monnaie Péi et développer des ateliers afin d’accompagner le public vers une consommation plus responsable, développer l’esprit critique des personnes. Chose pas facile au vu du contexte actuel. Un mouvement collectif pourra faire changer les politiques!

 

Nad : Développer des micro-boutiques pour permettre la vente des productions des permaculteurs, des surplus de fruitiers des particuliers et de tous les petits producteurs, qui cultivent sans intrant!

 

Emmi : On dit interdire les sachets en plastique mais sur le marché forain on ne voit que ça. Il fait mettre l’alternative sous le nez des acheteurs : pochons en tissus réutilisables, bocaux, bee vrap etc. Si on ne fait pas ça, ils n’iront jamais le faire eux même et on n’avancera pas. Ceci n’est qu’un exemple mais on devrait le faire pour absolument tout (pailles, barquettes, emballages plastiques couverts en plastique, serviettes etc.) Merci d’avoir fait ce sondage et bon courage pour la suite !

 

Mélissa : Fournir des graines de légumes ou des plants d’arbres fruitiers aux particuliers, proposer à ceux qui veulent de pouvoir entretenir 2 poules ou plus par foyer et qui leurs fourniront des œufs.

 

Rachel : Encourager la consommation bio Péi, Rendre accessible financièrement le bio (aides aux agriculteurs qui font de la permaculture pour revendre à un prix correct et baisser les taxes sur le bio importé). Plus c’est local, moins c’est cher. Cadrer et organiser la rencontre entre l’offre et la demande locale. Mettre en avant le bio Péi par un étiquetage facile et reconnaissable et mis en avant sur les étalages. Favoriser l’éducation, faire passer le message que nous n’avons pas besoin de tout ce qu’il y a dans les grandes surfaces : acheter moins mais mieux. Faire évoluer les mentalités et retrouver le goût de faire. Boycotter les marques qui mentent. Élaborer un outil de veille afin d’avoir des infos sur la provenance et la fabrication des aliments